• 4 planches en bois solides pour les parois latérales du coffre (bois massif ou multiplex 20 mm d’épaisseur)
• Panneau en bois pour le fond du coffre (15 mm d’épaisseur)
• 4 planches en bois : 2 pour l’arc du couvercle et 2 pour les côtés du couvercle
• Vis ou clousPeinture/lasure/laque
• Fraise à tenons droits
• Lunettes de protection
• Deux poignées
• Charnières

• Perceuse ou marteau
• Crayon
• Scie à bois (facultatif)
• Fraiseuse
• Scie sauteuse
   

Etape 1 : choisir le bois

Lors de l’achat du bois, faites attention aux labels, comme le label FSC, qui garantit que le bois provient de forêts gérées durablement. Lisez aussi le truc&astuce ‘Classification : bois’. Pour un coffre, vous avez besoin de bois solide. Dans ce truc&astuce, le coffre fait 1,5 m de longueur et 50 cm de hauteur. Vous pouvez faire scier le bois sur mesure dans un magasin de bricolage ou le faire vous-même. Vous pouvez bien entendu adapter les dimensions du coffre aux dimensions de votre intérieur.

Etape 2 : fraiser les planches

Réalisez au bas des quatre planches du coffre un évidement pour le panneau de fond avec une fraiseuse (voir le dessin). Utilisez une fraise à tenons droits. Dessinez d’abord l’évidement sur les planches et fraisez-les. Grâce à ces évidements, le panneau du fond ne touchera pas le sol. Dans notre truc&astuce ‘Travailler à la défonceuse’, vous apprendrez comment travailler avec une fraiseuse. Attention : il est important que les fraisages dans les panneaux latéraux et dans les panneaux avant et arrière soient réalisés partout à la même hauteur, de telle sorte qu’après assemblage, les planches reposent parfaitement au sol. N’oubliez pas d’arrêter de fraiser à temps, sinon vous verrez les fraisages lorsque vous regarderez le coffre de côté.

Etape 3 : assembler les planches

Pour assembler le coffre, vous devez réaliser une construction en U, avec par exemple le panneau avant et 2 panneaux latéraux. Vissez-les ensemble. Glissez le panneau de fond et assemblez le panneau arrière. Pour un résultat parfait, utilisez de préférence des clous sans tête qui vont se dissimuler dans le bois en s’enfonçant. Si vous voulez enfoncer une vis près du bord d’une planche, vous avez intérêt à réaliser un pré-trou. Sinon, le bois risque de se fendre. Le pré-trou doit être moins grand que le diamètre de la vis.

Etape 4 : fabriquer le couvercle

Le couvercle est l’élément qui va déterminer l’aspect final du coffre. Si vous êtes un peu créatif, ce coffre peut être très joli. Plusieurs solutions sont possibles, comme un arc, un couvercle plat ou un profil intermédiaire. Dans ce truc&astuce, nous avons opté pour un arc. Dessinez d’abord l’arc sur la planche qui va servir pour les deux parois latérales. Veillez à ce que le sommet de l’arc se situe parfaitement au milieu de la planche latérale du couvercle. Découpez maintenant l’arc avec une scie sauteuse. Pour obtenir une  courbe fluide, vous pouvez éventuellement utiliser une fine feuille de stratifié. Utilisez la première planche latérale pour reproduire l’arc sur la seconde planche latérale, de manière à ce que l’arc soit identique des deux côtés. Sciez les planches en bois pour les faces avant et arrière du couvercle. Calculez leur dimension comme suit : longueur du coffre – 2x l’épaisseur des planches latérales du couvercle (longueur 150cm – 2x l’épaisseur de 2cm). Clouez ou vissez-les aux planches latérales. Pour une belle finition de l’arc de cercle, utilisez une série de plus petites planches que vous fixez dans les planches latérales à l’aide de fins clous. Veillez à ce que celles-ci soient bien jointives afin de réduire au minimum les fentes. Fixez le couvercle sur le coffre au moyen de quatre charnières ou avec une charnière à piano.

Etape 5 : réaliser les finitions

Si vous avez vissé les planches, vous pouvez camoufler les vis à l’aide de pâte à bois malléable. Fixez deux poignées des deux côtés du coffre. Pour ce faire, suivez les instructions du truc&astuce ‘Monter un bouton de meuble’. Appliquez au choix une couche de peinture, lasure ou laque. Pour la marche à suivre consultez nos trucs&astuces ‘Peindre un radiateur’, ‘Entretenir un abri de jardin’ et ‘Peindre un mur intérieur’. En guise de poignées, vous pouvez aussi scier un trou. Songez à scier ces trous avant d’assembler le coffre. Dessinez au crayon le contour des poignées sur les deux planches latérales. Percez un trou à l’intérieur du contour. Placez la lame de la scie sauteuse dans le trou et sciez en suivant le trait de crayon.

• Briques de verre
• Profilés d'installation
• Joint de montage
• Mortier pour joint

• Pistolet pour joint de montage
• Éponge
• Niveau d'eau
• Fer à rejointoyer

Étape 1: préparer le support

Veillez à ce que le support soit parfaitement de niveau. Appuyez la paroi de verre à un mur, vérifiez que l'angle entre le mur et le sol est bien de 90°.  Compensez l'éventuel écart.

Étape 2: placer les briques en verre

Placez les premiers profilés.  Si la paroi de verre ne s'appuie sur aucun mur, placez uniquement un profilé horizontal.  Dans la plupart des cas, la paroi de verre s'appuiera sur un mur existant.  Dans ce cas, fixez un profilé vertical sur le profilé horizontal. Avant la fixation des profilés, suivez le mode d'emploi du fabricant. Placez un trait de joint de montage sur les profilés et placez la première brique de verre. Placez ensuite un profilé intermédiaire vertical contre la première brique de verre et placez ensuite la brique suivante.  Placez un trait uniforme de joint de montage sur les petits profilés pour qu'ils adhèrent correctement aux briques de verre. Procédez de la même manière jusqu'à la fin de la première rangée de briques de verre.  Placez ensuite un profilé horizontal sur la première rangée de briques et commencez la deuxième rangée. Lorsque vous avez terminé 5 rangées, laissez sécher pendant 24 heures pour que les briques ne glissent pas. Contrôlez régulièrement si la cloison est bien de niveau, surtout avant le séchage complet du joint de montage.

Étape 3: réaliser la finition

Lorsque toutes les rangées sont posées, il faudra attendre quelques semaines avant que la cloison soit complètement sèche.  Vous pouvez cependant réaliser les joints après deux jours. Utilisez un mortier pour joint classique. Retirez l'excédent de mortier à l'aide d'une éponge humide. Laissez le joint durcir et réalisez éventuellement la finition avec des profilés spéciaux en U en aluminium ou en inox, que vous pouvez coller avec du joint de montage sur l'arête verticale de la brique de verre. Enfin, réalisez le joint entre la paroi de verre et le sol avec de la silicone, ainsi que le joint entre le mur et la paroi de verre.  Dans la salle de bains, utilisez à cet effet de préférence un joint de finition sanitaire.

Peindre une surface en bois - intérieur

Assurez-vous que le bois est bien sec et dégraissez la surface. Avant la mise en peinture, poncez l'ensemble de la surface et éliminez la poussière. Bouchez les trous et crevasses avec un produit de réparation. Laissez sécher le produit suffisamment longtemps. Appliquez une couche de fond et laissez sécher. Poncez légèrement la couche de fond avec du papier de verre à grain fin. Si la couche de peinture finale est sombre, utilisez de préférence un primer gris. Si après application de la couche de fond, les nervures du bois sont encore visibles, il est recommandé d'appliquer une seconde couche. Laissez sécher cette couche avant de poncer à nouveau la surface.

Enduisage

Un ponçage et un enduisage soigneux sont les conditions primordiales d'une bonne adhérence de la peinture et d'un résultat final réussi. Sur du bois brut, commencez toujours par appliquer la couche de fond avant d'appliquer l'enduit. Après application du primer, les inégalités seront mieux visibles. L'enduit adhèrera en outre mieux sur le primer que sur le bois brut. Poncez la partie enduite avec du papier de verre à grain fin.  Éliminez la poussière du ponçage et appliquez la peinture. Pour appliquer l'enduit, travaillez toujours avec un petit couteau et un grand. Le couteau large vous servira de palette où vous déposerez une certaine quantité d'enduit. Le couteau plus étroit servira à l'enduisage proprement dit. Veillez à ce que le couteau à enduire soit propre et lisse. Le couteau à enduire doit former un angle de 45° avec la surface. Appliquez l'enduit d'un geste souple sur les crevasses. Attendez que l'enduit soit complètement sec. Il est préférable d'appliquer plusieurs couches minces plutôt qu'une seule couche épaisse. Bouchez les trous et les fissures importantes avec un produit de réparation pour bois.

Surfaces en bois peint

Si la couche de peinture existante est en bon état, vous pourrez considérer ce type de fond comme une surface déjà traitée. Il vous suffira de dégraisser et de poncer la surface avant la mise en peinture. Si la peinture existante n'est pas en bon état, il est préférable de la décaper entièrement pour travailler sur un support sain.

Décapage à la flamme

Ajustez le brûleur pour obtenir une flamme large et faites des mouvements continus sur de petites sections de la surface. Grattez les cloques de peinture immédiatement avec un grattoir bien aiguisé. Veillez à ne pas noircir ni brûler le bois. Vous pouvez également éliminer les anciennes peintures à l'aide d'un décapeur thermique ou d'un décapant liquide.

Assurez-vous que le bois est bien sec et dégraissez la surface. Avant la mise en peinture, poncez toute la surface et éliminez la poussière. Bouchez les trous et les crevasses à l'aide d'un produit de réparation. Attendez que celui-ci soit complètement sec avant de commencer à peindre. Appliquez ensuite une couche de fond ou primer. Lorsque la peinture est sèche poncez légèrement la surface avec du papier de verre à grain fin. Appliquez ensuite la couche de finition.

Enduisage

Un ponçage et un enduisage soigneux sont les conditions primordiales d'une bonne adhérence de la peinture et d'un résultat final réussi. Sur du bois brut, commencez toujours à appliquer la couche de fond avant d'appliquer l'enduit. Après l'application du primer, les inégalités seront mieux visibles. L'enduit adhèrera en outre mieux sur le primer que sur le bois brut. Poncez la surface enduite avec du papier de verre à grain fin et éliminez la poussière de ponçage. Pour appliquer l'enduit, utilisez toujours un petit couteau et un grand. Le couteau large vous servira de palette où vous déposerez une certaine quantité d'enduit. Le couteau plus étroit servira à l'enduisage proprement dit. Veillez à ce que le couteau à enduire soit propre et lisse. Le couteau à enduire doit former un angle de 45° avec la surface. Appliquez l'enduit d'un geste souple sur les crevasses. Attendez que l'enduit soit complètement sec. Il est préférable d'appliquer plusieurs couches minces qu'une seule couche épaisse. Bouchez les trous et les fissures importantes avec du reboucheur de réparation pour bois.

Surfaces déjà peintes

Si la couche de peinture existante est en bon état, vous pourrez considérer ce type de fond comme une surface déjà traitée. Il vous suffira de dégraisser et poncer la surface avant la mise en peinture. Si la peinture existante n'est pas en bon état, il est préférable de la décaper entièrement pour travailler sur un support sain.

Décapage à la flamme

Ajustez le brûleur pour obtenir une flamme large et faites des mouvements continus sur de petites sections de la surface. Grattez les cloques de peinture immédiatement avec un grattoir bien aiguisé. Veillez à ne pas noircir ni brûler le bois. Vous pouvez également éliminer les anciennes peintures à l'aide d'un décapeur thermique ou d'un décapant liquide.

• Plants de buis
• Engrais
• Tourbe

• Bêche
• Arrosoir ou tuyau d'arrosage
• Corde

Étape 1: plantation

Plantez le buis de préférence au printemps ou en automne. Il n'est pas nécessaire d'utiliser un terreau spécial; veillez toutefois à planter le buis dans un endroit ensoleillé ou à mi-ombre. Le buis se plante de plusieurs manières: en haie, en buissons épais, de manière isolée ou même en pot. Dans ce cas, il est essentiel de prévoir un pot contenant suffisamment de terre. Lors de fortes chaleurs, arrosez régulièrement les plantes en pot parce que l'humidité contenue dans la terre s'évapore très vite.

Étape 2: les préparatifs

Si vous ne plantez pas votre buis immédiatement après l'avoir acheté, plongez les racines dans un seau d'eau pour que la plante absorbe suffisamment d'humidité. Enlevez les mauvaises herbes, les pierres et les déchets à l'endroit où vous comptez planter le buis. Creusez un trou de 25 cm x 25 cm et d'environ 30 cm de profondeur.

Étape 3: planter le buis

Mélangez 40 g d'engrais à de la terre bien aérée. Choisissez des granulés contenant du magnésium et des oligo-éléments. Installez la plante dans le trou et recouvrez les racines du mélange de terre et d'engrais. Tassez légèrement la terre autour du tronc pour que la plante ne puisse pas bouger.  Arrosez abondamment. Le sol doit être détrempé pour que le buis absorbe suffisamment d'eau. Arrosez toutes les 2 semaines, même s'il a plu légèrement.

Étape 4: planter une haie de buis

Tendez une corde pour marquer l'alignement de la future haie. Creusez une tranchée de 30 cm de large et 30 cm de profondeur. Si le sol est composé d'argile lourde, mélangez du sable de rivière à la couche supérieure. Selon la hauteur de la haie définitive, prévoyez environ 7 plants par mètre.

Étape 5: bouturage

En août/septembre, vous pouvez prélever des boutures d'environ 8 cm. Placez les boutures sous châssis dans un mélange à parts égales de tourbe et de sable.  En avril, plantez en pépinière les boutures enracinées. Plantez les buis à leur emplacement définitif au bout de 2 ans.

Étape 6: taille

Taillez le buis en août - septembre pour lui donner la forme voulue. Pour cela, utilisez un taille-haie électrique ou une cisaille.

• Mortier
• Mortier de jointoiement
• Colle de montage
• Planches en bois (coffrage)
• Planches en bois ou pierre de taille (revêtement)
• Numéro de maison
• Briques
• Caisson pour boîte aux lettres préfabriqué (sauf si vous maçonnez vous-même l'ouverture)

• Bac à mortier
• Truelle
• Fer à rejointoyer
• Élastique
• Laser autonivellant

Étape 1: couler les fondations

Vous trouverez dans le commerce des caissons pour boîte aux lettres préfabriqués dans des styles les plus divers. La taille et la forme finales de votre boîte aux lettres dépendent donc très fort de la taille et de la forme du caisson choisi. Tenez compte également des dimensions des briques pour déterminer la taille de votre boîte aux lettres. De cette manière vous éviterez des découpes inutiles. Couler les fondations sur 10 cm dans un coffrage en bois et veillez à ce que celles-ci dépassent de 10 cm les dimensions de la base de la boîte aux lettres.

Étape 2 préparer les travaux de maçonnerie

Placez la première rangée de briques sur les fondations et dessinez celles-ci à la craie. De cette manière, vous connaîtrez directement les dimensions des planches de finition en bois. Aux quatre coins de la boîte aux lettres, vissez une latte en bois contre le coffrage des fondations. Sur celles-ci, indiquez à l'aide d'un laser autonivellant les différentes hauteurs des rangées de briques. En guise de corde de maçonnerie, tendez un élastique autour des quatre lattes en bois.

Étape 3: maçonner

Tendez l'élastique au niveau de la rangée et maçonnez la première rangée de briques. Avant d'entamer la deuxième rangée, déplacez l'élastique au niveau de la rangée suivante. Placez une membrane d'étanchéité dès que les briques dépassent le niveau du sol. De cette manière vous éviterez que les briques absorbent l'eau provenant du sol et ne se décolorent. Maçonnez ensuite au-dessus de la membrane d'étanchéité. Vous pouvez éventuellement laisser une ouverture pour la maçonnerie verticale. Cela rompt l'aspect monotone de la boîte aux lettres. À la hauteur souhaitée, laissez également une ouverture pour placer le caisson de boîte aux lettres. Placez à cet effet le caisson à son emplacement futur pour savoir quel espace doit être prévu. Coupez les briques à l'aide d'une meuleuse d'angle.

Étape 4: placer le caisson préfabriqué

Placez du mortier sur la maçonnerie sur laquelle reposera le caisson préfabriqué et positionnez correctement ce dernier. Vous pouvez recouvrir tant le caisson que le reste de la boîte aux lettres à l'aide de planches en cèdre, sans que cela ne vous coûte des fortunes. Vous pouvez également faire scier de la pierre naturelle sur mesure. Collez les planchettes en bois sur le caisson et sur le reste de la boîte aux lettres à l'aide d'une colle de montage résistante à l'eau. Vérifiez que les planches sont parfaitement de niveau.

Étape 5: réaliser la finition

Placez du mortier sur la maçonnerie sur laquelle reposera le caisson préfabriqué et positionnez correctement ce dernier. Vous pouvez recouvrir tant le caisson que le reste de la boîte aux lettres à l'aide de planches en cèdre, sans que cela ne vous coûte des fortunes. Vous pouvez également faire scier de la pierre naturelle sur mesure. Collez les planchettes en bois sur le caisson et sur le reste de la boîte aux lettres à l'aide d'une colle de montage résistante à l'eau. Vérifiez que les planches sont parfaitement de niveau.

• Bois
• Blocs d’allumage
• Poêle au bois ou feu ouvert
• Allumettes

Étape 1 : choisir le bois

Le type de bois que vous utilisez a un impact considérable sur la qualité de la combustion et la production de chaleur du foyer. Nous distinguons Bois dur et bois tendre En ce qui concerne l’émission calorifique, il y a peu de différence entre le bois dur (hêtre, chêne, meranti, …) et le bois tendre (bouleau, aulne, tilleul,…). Mais la plupart des gens préfèrent le bois dur pour les belles flammes et la longue durée de combustion. Le bois tendre brûle plus vite et votre poêle ou feu devra donc être alimenté plus souvent. Par ailleurs, ce dernier est moins cher. Si vous possédez un poêle à accumulation qu’il ne faut alimenter en bois que pendant quelques heures pour profiter toute la journée d’une agréable chaleur, le bois tendre vaut tout aussi bien que le bois dur. Si vous avez un poêle ordinaire, que vous devez alimenter en permanence, le bois dur est plus pratique. Résineux et feuillu Dans un poêle, vous pouvez brûler du bois d’arbres feuillus comme résineux.  S’il s’agit d’un feu ouvert, le bois de feuillu a la préférence, pour des raisons de sécurité. Lorsqu’il se consume, le résineux crépite et pète, à cause de l’accumulation plus importante de gaz dans le bois. De plus, des morceaux de bois peuvent éclater hors du feu, ce qui peut conduire à des situations dangereuses si vous avez un feu ouvert. Attention aussi avec le bois résineux saturé en résine. Ce type de bois entraîne un dépôt de suie dans la cheminée et produit des étincelles lors de la combustion. Le bois de feuillu libère plus rapidement les gaz de bois, de telle sorte qu’il crépite moins. Pour un feu ouvert, vous avez intérêt à brûler du bois qui se consume sagement, comme le hêtre ou le bois d’arbres fruitiers. Le bois résineux brûle moins longtemps que le feuillu, bien que le saule et le peuplier se consument aussi relativement vite. Chaude ou belle combustion Si vous préférez une chaleur de rayonnement élevée, le hêtre, le frêne, l’acacia et le bois d’arbres fruitiers sont conseillés. Parmi les bois que l’on trouve chez nous, le bois de charme est celui qui possède le plus grand pouvoir calorifique et donc aussi, la meilleure transmission de chaleur. Si vous attachez plus d’importance au spectacle que produisent les flammes qu’à la chaleur proprement dite, vous devez brûler du frêne ou du chêne. Ces essences de bois produisent de belles flammes changeantes et crépitent davantage. Longue ou courte durée de combustion Comme nous l’avons dit plus haut, le bois dur se consume moins vite que le bois tendre et le résineux brûle moins longtemps que le feuillu. Ci-dessous, vous trouverez un aperçu des essences de bois présentes chez nous qui brûlent le plus et le moins longtemps. Pommier (se consume le plus longtemps) Haie de hêtre Hêtre Poirier Chêne Bouleau Frêne Noyer Platane Erable Aulne Saule Pin sylvestre Peuplier Sapin (se consume le moins longtemps) Comme pour les autres déchets comme le papier, le carton ou le plastique, il est déconseillé de brûler du bois traité (provenant par exemple de déchets de démolition) car celui-ci libère des substances nocives qui sont mauvaises pour la santé et l’environnement.  De plus, l’assurance risque de se rétracter en cas d’incendie s’il s’avère que vous avez brûlé du bois traité. Les panneaux d’aggloméré, de carton compact, de multiplex, ainsi que le bois lasuré, imprégné, peint ou traité d’une autre manière ne peuvent donc pas être mis dans un poêle. Le bois humide est également à proscrire. Le bois humide provoque une combustion incomplète et libère des substances nocives. De plus, le bois humide dégage moins de chaleur car une partie de la chaleur est utilisée pour faire évaporer l’humidité.

Briquettes, bûchettes et pellets

Au lieu de fendre ou d’acheter votre bois, vous pouvez aussi brûler des briquettes ou bûchettes qui existent en diverses versions. Bûchettes de bois densifié (à la paraffine) : celles-ci sont constituées d’un mélange de sciure et de paraffine. Elles offrent une belle combustion.  Elles sont faciles à allumer et se consument longtemps Briquettes de lignite : ces briquettes de lignite comprimé brûlent vite et longtemps, mais elles sont mauvaises pour l’environnement car elles libèrent entre autres du dioxyde d’azote, de la suie et de fines particules. Briquettes de bois : fibres et copeaux de bois comprimés. Lente combustion et écologiques. Les pellets de bois : granulés de déchets de bois comprimés. Pour pouvoir brûler ces pellets, vous devez posséder un poêle spécial.

Étape 2 : stocker le bois

Si vous êtes allé chercher votre bois vous-même, entreposez-le dans un endroit sec et aéré, comme une grange ou un débordement de toiture contre un mur. Pour favoriser la ventilation, vous pouvez laisser quelques aérations dans le tas de bois.$ Du bois fraîchement coupé doit sécher au moins pendant deux ans. Ensuite, déplacez-le dans un endroit mieux protégé, totalement à l’abri de la pluie. Posez-le de préférence sur des palettes, de telle sorte que l’air circule au bas du tas de bois et que l’humidité du sol ne pénètre pas dans le bois. Le bois que vous achetez doit également être stocké directement à un endroit sec et protégé de la pluie. Nous vous conseillons donc d’acheter votre bois de chauffage en été…

Étape 3 : brûler le bois

Pour allumer votre feu, utilisez des petits morceaux de bois et des blocs d’allumage. Lorsque le feu a pris, posez des plus gros morceaux sur le feu, sans exagérer afin de ne pas étouffer le feu. Si la fumée qui se dégage est pratiquement invisible, cela signifie que la combustion est optimale. Si nécessaire, rajoutez du bois en quantité raisonnable et avec précaution.

• Bulbes à fleurs
• Terreau

• Truelle ou petite pelle
• Râteau
• Bêche
• Plantoir à bulbes

Etape 1: bulbes à floraison printanière ou à floraison estivale?

Les bulbes à floraison printanière comme, par exemple, les tulipes, les narcisses, les jacinthes et les crocus, sont plantés en automne. Ne plantez pas ces bulbes si le sol est déjà gelé ou s'il est mouillé. Les bulbes à floraison estivale, comme les bégonias et les dahlias, aiment les environnements chauds et humiques et sont gélifs. Ils se plantent idéalement au printemps, lorsque la température du sol tourne autour de 10 degrés.

Etape 2: travailler la surface

Plantez-vous les bulbes dans un pot ou dans un bac ? Veillez en tout cas à ce que l'eau excédentaire puisse être facilement drainée en prévoyant des trous dans la partie inférieure. C'est essentiel pour la bonne santé des racines. Recouvrez ensuite le trou de drainage avec des éclats de poterie ou des graviers. Pour les bulbes placés dans des bacs ou des pots, utilisez de la terre que l'on trouve dans le commerce. Elle n'est pas contaminée par des maladies et est moins ferme que la terre de votre jardin. Si vous plantez les bulbes en pleine terre, veillez bien à aérer la terre, à l'aide d'un râteau par exemple. Otez les mauvaises herbes et les cailloux. Ne placez pas non plus les bulbes au bas d'une butte ou à un endroit où l'eau s'évacue difficilement. Les bulbes risqueraient alors de pourrir.

Etape 3: planter les bulbes

Dans des pots et des bacs La règle est la suivante : plantez le bulbe à une profondeur équivalant à deux fois sa hauteur. La profondeur minimale est de 5 cm. Ne plantez pas non plus les bulbes trop près du bord du pot ou du bac. Ils seront ainsi moins exposés au gel. Remplissez un quart ou un tiers du pot avec de la terre et disposez le bulbe de façon à ce que la pointe soit orientée vers le haut. Ajoutez ensuite de la terre jusqu'à 1 cm en dessous du bord pour pouvoir arroser efficacement.

Planter des bulbes en pleine terre Les bulbes à fleurs poussent dans presque tous les environnements, sauf dans les sols extrêmement humides. Toutes les plantes à bulbes apprécient les endroits ensoleillés ou semi-ombragés. Les crocus et les tulipes ont même besoin d'énormément de soleil. Valable ici également : le bulbe doit être planté à une profondeur équivalant à deux fois sa hauteur. La profondeur minimale est de 5 cm. La distance entre les bulbes dépend également de la variété. Consultez pour cela l'emballage. Plantez de préférence les bulbes à floraison estivale un peu plus près de la surface. La terre y est plus chaude et ils apprécieront énormément. Placez le bulbe délicatement (ne pas enfoncer) dans la terre avec la pointe orientée vers le haut. Vous pouvez également planter les bulbes à fleurs dans le gazon. Faites un trou dans le gazon, placez-y les bulbes et recouvrez-les ensuite. Vous pouvez disposer les bulbes en ligne et en groupe pour obtenir un bel effet. Soyez évidemment prudent lorsque vous passez la tondeuse à gazon.

Etape 4: enlever les bulbes

Cela dépend de la variété. Certaines variétés, comme la jacinthe des bois et le perce-neige, croissent à l'état sauvage. Si vous ne les enlevez pas, vous en aurez de plus en plus chaque année. Laissez dépérir d'autres variétés pour les enlever en juin. Placez-les ensuite dans un endroit sec, sombre et pas trop chaud. Vous pourrez ainsi les replanter en automne. Les tubercules des bulbes à floraison estivale doivent être enlevés chaque année pour qu'ils ne gèlent pas. La plupart des bulbes à floraison printanière peuvent rester en terre et fleuriront à nouveau l'année suivante. La qualité de floraison diminuera toutefois au fil des ans. Lorsqu'ils ne sont vraiment plus beaux, enlevez-les et plantez-en d'autres.

• Matière première pour le mélange
• Pelle
• Gants de travail
• Masque à poussières
• Brouette
• Rallonge électrique (3x2,5m²)

• Bétonnière

acheter/louer une bétonnière

Avant tout, vérifiez la capacité du tambour.  Celle-ci varie de 120 à 250 litres. Pour les bricoleurs, un plus petit tambour suffit.  Les professionnels de la construction veulent, quant à eux, pouvoir préparer en une fois une grosse quantité de mortier. Autre élément important dans le choix d’une bétonnière est son système de basculement. Les bétonnières avec un frein au pied traditionnel et un câble d’acier peuvent être basculées progressivement dans n’importe quelle position. Vous pressez le frein à pied et faites tournez la roue de basculement jusqu’à ce que la position du tambour souhaitée soit atteinte. D’autres systèmes (généralement équipés d’une barre au lieu d’un câble) ne permettent que quelques positions de mélange précises. Certains modèles sont pourvus, en plus du bouton marche/arrêt, d’un bouton d’arrêt d’urgence. Il existe aussi des bétonnières à essence.  Elles sont très pratiques car vous n’avez pas besoin d’alimentation électrique. Par contre, vous ne pouvez pas les utiliser dans un endroit clos à cause du dégagement de gaz d’échappement qui peuvent être mortels.

monter et utiliser la bétonnière

Montez la bétonnière comme indiqué dans la notice d’utilisation. Mettez la moitié des ingrédients nécessaires dans le tambour et ajoutez un peu d’eau (une partie seulement de la quantité nécessaire).  Consultez notre truc&astuce ‘Réaliser des mélanges de béton et mortier’ pour un aperçu des proportions et ingrédients requis, ainsi que des éventuels additifs. Laissez la bétonnière tourner et placez le tambour en oblique de telle sorte que les ingrédients se mélange bien au travers des lames du tambour. Après quelques minutes, incorpores le reste des ingrédients et d’eau. Mettez la bétonnière sur arrêt afin de vérifier que le mélange est prêt. Ne mettez jamais les mains dans le tambour en mouvement. Si le mélange est prêt, faites tourner le tambour et versez le mélange dans un brouette. Faites bien attention que le tambour en mouvement ne touche pas la brouette. Veillez à ce que la brouette soit bien stable et bien positionnée sous la bétonnière. Sinon, du béton risque de couler en dehors de la brouette et la brouette de se renverser sous le poids du béton.