Décoration de la piscine

Habillage et décoration de votre piscine


Il ne faut surtout pas oublier que la piscine reste le royaume des enfants, elle leur procurent des heures d’amusement , alors choisissez votre décoration pour qu’il puisse continuer à le faire en toute sécurité.
Évitez absolument tout objet lourd autour de votre piscine cela pourrais s’avérer dangereux pour les jeunes enfants
Construction de la plage.
La plage est le complément logique du plan d’eau. Son dallage doit être très soigné. Non seulement il empêche que l’eau ne soit souillée avec de la terre, des débris de feuilles mortes ou le ruissèlement des eaux de pluie, mais il constitue l’écrin dans lequel s’inscrit le plan d’eau.
La superficie de cette plage doit être d’une fois à une fois et demie la surface de la piscine.
Sa forme est plus libre que celle du bassin.
Il y a néanmoins quelques règles à respecter :
Une légère contre-pente doit empêcher l’eau de pluie recueillie sur la plage et souillée par le sol de retomber dans le bassin.
Le dallage doit être antidérapant.
La gamme des matériaux pouvant assurer le revêtement de la plage est très étendue:
dalles de béton, dalles romaines, mignonnettes lavées, ardoise, brique sur champs, pierre de pays en opus incertum…
Le décor autour de la piscine.
Il arrive que l’emplacement choisi ne demande aucun complément.
Mais le plus souvent un certain nombre de végétaux sont nécessaires pour composer un cadre agréable à la piscine.
Avant de les choisir n’oubliiez pas que deux conditions climatiques sont indispensables à une piscine : le soleil et l’absence de vent.
Le soleil:
N’intercalez aucun obstacle entre le soleil et l’eau du bassin. Si vous plantez des arbres qu’ils soient toujours situés au nord du plan d’eau.
L’absence de vent:
des haies taillées ou des clôtures mortes (mur, palissade, écran de verre ou de matière plastique) placées du côté des vents dominants protégeront votre bassin.
Les piscines hors sol et démontables
Ces piscines, faites de panneaux rigides juxtaposables, ou d’une poche plastique souple soutenue par une armature, n’ont pas le luxe des piscines fixes en béton, mais elles permettent tout de même de bénéficier Lies bienfaits de l’eau sans être au bord de la mer.
Ses avantages. Le prix (les piscines démontables les met à la portée d’un très grand nombre de jardin.
-Elles conviennent à tous les terrains et ne détériorent pas un jardin puisqu’elles ne nécessitent aucune fondation.
- Elles se montent très facilement: deux à cinq heures selon les dimensions.
- Elles sont légères, et peuvent, une fois repliées, être transportées dans le coffre d’une voiture.
- Exposées de tous côtés au soleil, elles permettent un réchauffement rapide de l’eau, et conservent longtemps cette tiédeur grâce â leur double paroi isolante.
- Elles peuvent rester remplies toute l’année car elles ne craignent pas le gel.
Rappelons à ce sujet que pour une piscine, petite ou grande, en dur ou démontable, il faut prendre toutes les mesures nécessaires afin de garder son eau fraîche, agréable et surtout pure de toute bactérie .
Les différents modèles.
Il existe plusieurs types de fabrication, certains utilisent une toile tendue sur une ossature métallique: cette toile est très résistante, imperméable et imputrescible.
D’autres, un panneau semi-rigide en aluminium ou un double cadre en acier replié par (les joints et étayé par des jambes de force.
Tous ces modèles sont tapissés intérieurement d’une double enveloppe en matière plastique. A savoir: pour que le fond d’une piscine démontable soit aussi lisse que possible, étendez sur le sol, avant de la mettre en place, une mince couche de sable fin.
Piscine pour enfants de 3 à 8 ans, parois rigides, armature tubulaire, profondeur 0.50m, surface 4 m².
Piscine pour adolescents : profondeur 1 m, surface jusqu’à 60 m² Plongeoir et échelle en bois vernis, portique avec trapèze et échelle de corde sur armature tubulaire.
Découvrez d’autres articles sur la piscine et son équipement Piscine.

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Piscine bio

La piscine biologique, ses aspects et caractéristiques

Sachez que lorsqu’on parle de « piscine bio », il s’agit bien évidemment de piscine biologique, mais on parlera également de « piscine naturelle », tout comme il est également courant de parler de « piscine écologique ». D’autres l’appellent même « étang de baignade ». Tout ce charabia désigne en fait une réalité tout à fait simplifiée, c’est-à-dire qu’il faut entendre par « piscine bio » tout environnement propice à la natation, de loisir normalement, mais qui se distingue par l’emplacement géographique du milieu en question, caractérisé par une biocénose vivant dans un biotope dénué de pollutions et autres dangers bactériologiques de toutes sortes.
Pour votre information, sachez que la construction d’une piscine bio relève d’une technicité tout à fait patente : l’art de la création débute comme pour une piscine normale, c’est-à-dire en creusant un gros trou d’au moins deux mètres de profondeur. L’étape essentielle suivante sera de prévoir au moins la moitié de la surface de la cavité de votre future piscine pour y mettre en place les plantes aquatiques. Ensuite, il vous faudra être on ne peut plus attentif car à ce stade de la construction de votre piscine biologique, la mise en place de gravier au fond de la cavité creusée améliorera l’œuvre et le rôle joué par les bactéries ainsi que la dégradation naturelle de l’herbe ou autres feuillages qui pourraient venir se déposer au fond de la piscine ; d’où il s’avère crucial de ne pas négliger cette étape. Il faut également mettre en place une zone de filtration qui permettra un meilleur réchauffement de l’eau de la piscine et qui en sus contribuera amplement à vous débarrasser des larves de moustiques grâce à la présence de grenouilles par exemple. Cette piscine naturelle là doit contenir une pompe afin d’évacuer les mauvaises herbes, les débris et autres algues surabondantes.
Pour votre gouverne, apprenez que la piscine naturelle est très abordable financièrement parlant si vous voulez vous y mettre, car d’une part on peut tout à fait la construire soi-même, et d’autre part, un budget comptabilisant 2000 euros sera largement suffisant.

Les atouts de la piscine bio

Un des atouts majeurs de ladite piscine bio réside dans le fait qu’il n y a guère de produits chimiques dans ce haut lieu de la baignade. En effet, ce qu’il faut développer, c’est la magnifique juxtaposition de la faune et de la flore, garants du bon écosystème général de l’environnement dans lequel vous ferez trempette. Cela étant, vous aurez compris que l’innovation émérite de la piscine naturelle réside dans l’écosystème, dans l’environnement apparent et réel dans lequel vous serez amené à évoluer en terme de natation.
La piscine bio, c’est également une formidable inventivité au niveau de l’art de la conception visuelle et par une approche très environnementale et axée sur de fabuleuses courbes de paysage fait de branchages, d’écosystème mêlant la faune et la flore… En cela, les concepteurs ou vous-même, opèrent un travail artistique majeur.
Pour la petite histoire, sachez que l’origine de la piscine bio remonte à 1985 lorsqu’un autrichien du nom de Peter Petrich eut la géniale idée d’innover en créant une piscine naturelle dans laquelle le recyclage de l’eau n’était nullement requis car les phénomènes naturels de ce mini écosystème accomplissaient déjà cette tâche là. Le succès fut immense et engendra sa commercialisation.
Si vous désirez goûter aux plaisirs de la piscine naturelle, alors nous vous orientons vers les parcs de loisir, hôtels, dans certaines montagnes et certains parcs dans lesquels vous trouverez ce haut lieu de la baignade naturelle dans un cadre artificiel.
Sachez également que le taux de probabilité de contamination en microbes pathogènes de l’eau de votre piscine naturelle est très faible car l’écosystème fait que l’équilibre dans la biocénose est assurée.
Finalement, il s’avère que la piscine bio constitue une véritable contribution majeure à l’écologie car cet écosystème en miniature sensibilise amplement sur la conservation de la faune et de la flore, en même temps qu’il offre un paysage assez « décoiffant » au demeurant, faisant de la piscine naturelle un total havre de paix !

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Craquez une piscine en bois

Craquez une piscine en bois


La piscine en bois
La piscine en bois d’un esthétique incomparable pour un confort exceptionnel. est en plus très facile à monter et s’installe rapidement surtout en hors-sol ou en semi-enterrée.
Le sol doit être ferme et présenter une surface parfaitement plane.
Il vous faudra avant de l’installer décapez la surface du terrain sur 10 a 15 cm de profondeur au minimum.et appliquer une couche de sable ou une dalle en béton contribueront à stabiliser le sol.
La pose d’une moquette imputrescible (bidim) est nécessaire pour que le liner ne touche pas directement le sol.
La piscines peut être autoportantes ou alors nécessiter l’installation de jambes de force.
Comme pour toutes les piscines en panneaux modulaires, la piscine en bois est vendu chez un spécialiste généralement dans un kit complet :
  • de modules : madriers ou lames formant la paroi verticale de la piscine .
  • d’un revêtement : le liner.
  • de margelles : plusieurs essences de bois peuvent être utilisées selon le résultat escompté (couleur, solidité, antidérapantes…garantie à vie. )
  • d’un groupe de filtration à sable
  • l’équipements de base (échelle ou escalier…)
  • de skimmer et buse de refoulement
Le bois
Il faut choisir en premier lieu entre les bois imputrescibles et le traitement autoclave.
Les essences ne sont pas toutes imputrescibles, alors que cette qualité est requise pour un bois destiné à constituer la structure d’une piscine.
Les essences de bois sont classées selon leur capacité de résistance à l’humidité, aux attaques des insectes et des champignons. La durabilité peut être naturelle ou augmentée par un traitement.
Un premier traitement, dit à cœur, consiste imprégner le bois en autoclave et jusqu’à saturation d’un produit insecticide et fongicide.
Le bois est mis sous vide pour en extraire l’humidité, immergé dans le produit, pressurisé pour faire pénétrer le produit, mis sous vide pour éliminer le produit en surplus, puis séché.
Quant au traitement en surface, il s’applique à certains bois trop durs pour être imprégnés par autoclave.
Le traitement avec un produit insecticide et fongicide se fait en finition.
Les principaux bois utilisés dans la fabrication des piscines sont les suivants :
  • sans traitement : doussié, ipé ou ébène verte, iroko, robinier ou faux acacia et teck
  • avec traitement : méranti dark red, pin du nord rouge ou pin sylvestre, pin maritime.

L’entretien d’une piscine en bois

Les bois sont traités contre les agressions extérieures et les parasites dès la construction de la structure.
Les bois exotique ont cependant une certaine tendance à griser avec le temps et exige un entretien régulier.
Par ailleurs, il est recommandé de ne pas monter et démonter une piscine bois hors-sol trop fréquemment.
Les avantage du bois
Le bois est une matière noble et authentique qui s’intègre parfaitement à tous les types de jardin en lui donnant une petite touche de naturel. L’ahat d’une piscine en bois reste un investissement pas toujours à la portée de toutes les bourses mais elle augmentera sensiblement la valeur de votre maison.
Le bois dispose de qualités aujourd’hui incontournables dans la construction de piscine.
-léger : il est facile à manier, ce qui est plutôt appréciable au moment de l’assemblage
-résistant : aucune matière naturelle n’offre une telle solidité et une telle durée de vie
-isolant thermique naturel: le bois vous permet de garder l’eau de votre piscine plus chaude bien plus longtemps.
Écologique ? N’hésitez pas à ne choisir que des bois éthiques pour votre piscine !
La certification PEFC vous garantie que votre constructeur piscine ne participe pas à la déforestation massive.

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Installer un bassin préformé


Un bassin préformé est la solution idéale si vous voulez installer une petite pièce d'eau dans votre jardin. Fabriqués en polyester ou polyéthylène, ils sont solides, faciles à manipuler et à installer.

Matériaux:
  • Bassin préformé
  • Longue latte (niveau)
  • Corde
  • Sable stabilisé
  • Éclairage (facultatif)
Outils:
  • Bêche
  • Pelle
  • Niveau

Étape 1: choix du type de bassin
  • Déterminez d'abord l'usage que vous voulez faire de votre bassin. Voulez-vous y élever des poissons ou préférez-vous de belles plantes? Voulez-vous installer une fontaine, une petite cascade?
  • Si vous pensez y mettre des poissons, choisissez un modèle suffisamment grand et profond. La profondeur idéale est de 1 mètre environ, avec un minimum de 80 cm. La survie des poissons en période de gel en dépend. Il existe également des modèles spécifiques pour les plantations.
Étape 2: délimiter le bassin
  • Délimitez la forme de l'étang et ses dimensions à l'aide d'une grosse corde.
Étape 3: creuser le bassin
  • Creusez un trou à la profondeur désirée et 10 à 15 cm plus large que le bassin préformé. Respectez la forme et les différents niveaux du bassin. Veillez à ce que le dessus du bassin soit à niveau avec le terrain. Si vous voulez placer un chemin autour, veillez à ce que le bord du bassin soit surélevé de 10 cm par rapport au terrain afin de pouvoir poser ensuite votre chemin en pierre, brique, bois, etc.
Étape 4: stabiliser la base
  • Si le fond n'est pas très stable, posez une couche de stabilisation en dessous du bassin, de préférence du sable stabilisé.
Étape 5: mise à niveau
  • Placez ensuite le bassin dans le trou en veillant à ce que les bords soient bien à niveau dans les différentes directions. Posez une longue latte en travers du bassin pour faciliter la vérification.
Étape 6: remplir et fixer le bassin
  • Remplissez le bassin d'eau de distribution (l'eau de pluie ou sous-terraine est généralement trop acide) et comblez les vides autour.
  • Remplissez d'abord le bassin au tiers ou à 50% maximum. Vous éviterez ainsi qu'il ne soit poussé vers le haut lorsque vous comblerez l'espace autour.
  • Comblez de préférence ces vides avec du sable stabilisé. Posez éventuellement une couche de terre ou terreau sur le dessus pour pouvoir semer ou planter par la suite. Humidifiez le sable couche par couche et tassez.
Étape 7: prévoir l´électricité
  • L'eau de votre bassin restera propre et riche en oxygène si vous prévoyez une pompe et un filtre. L'éclairage apporte une touche supplémentaire, qu'il soit ou non sous l'eau.
  • Si vous n'avez pas de prise de courant à proximité de votre bassin, posez les câbles nécessaires en les enterrant à 40 à 50 cm de profondeur. Utilisez le câblage adéquat et reliez les prises comme il convient. Attention: coupez d'abord le courant!
  • Placez ensuite la pompe, l'éclairage et/ou le filtre. Suivez scrupuleusement les instructions du fabricant.
Étape 8: poissons et plantations
  • Vous pouvez ensuite mettre des poissons et des plantes aquatiques dans votre bassin, prévoir des plantes de marais et des plantations décoratives tout autour.

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Peindre une façade en briques


Avec une couche de peinture, votre habitation peut faire peau neuve en un minimum de temps. Grâce à cette activité de bricolage qui n’est pas très compliquée mais laborieuse, vous pouvez protéger votre façade contre les assauts du temps.

Fournitures :
  • Peinture
  • Papier abrasif
  • Film plastique, papier journal ou couvertures (pour protéger seuils et châssis)
  • Linge
Outillage :
  • Brosse pour peindre
  • Brosse en fer
  • Grande brosse rectangulaire
  • Nettoyeur à haute pression
  • Rouleau pour peindre
  • Grattoir
  • Echelle ou échafaudage
  • Bac pour peinture avec égouttoir
  • Vêtements de travail

Étape 1 : préparer la façade
  • Consultez le truc&astuce ’Travailler en toute sécurité sur un échafaudage’ avant de commencer des travaux de façade.
  • Contrôlez le degré d’humidité de la façade. Si celui-ci excède 5 pour-cent, il est déconseillé de la peindre. La peinture n’adhérera pas correctement et s’écaillera rapidement. Dans de nombreux magasins de peintures, vous pouvez emprunter un appareil de mesure de l’humidité contre une caution que vous récupérez ensuite. Cet appareil sur batteries est pourvu d’une aiguille que vous devez enfoncer dans le mur. Vous pouvez ensuite lire à l’écran le taux d’humidité.
  • Réparer les éventuels joints et fissures. Voir le truc&astuce ‘Réparer une fissure dans une façade en briques’.
  • La température extérieure doit être supérieure à 7°.
Étape 2 : nettoyer la façade
  • Vous ne pouvez peindre une façade que si celle-ci est propre. Eliminez d’abord avec le nettoyeur à haute pression les grosses saletés, comme des écailles de peinture ou des efflorescences.
  • Après ce traitement au nettoyeur à haute pression, vous devez appliquer un produit anti-mousse. Laissez le produit sécher correctement en vous référant à la notice d’utilisation. Nettoyez à nouveau le mur au nettoyeur à haute pression.
  • Protégez le trottoir avec un film plastique ou du papier journal et protégez les châssis au moyen de ruban de masquage.
  • Grattez la peinture qui se détache du mur et frottez les zones écaillées avec une brosse en fer. Vous pourrez recouvrir de peinture fraîche les couches d’ancienne peinture qui adhèrent encore bien.
  • Si la façade est recouverte d’une couche poudreuse ou si l’ancienne couche de peinture devient poudreuse, vous devez d’abord traiter le support avec un fixateur. Sinon, la nouvelle peinture risque de ne pas bien adhérer.
  • Pour s’assurer que la peinture sera bien couvrante, il est recommandé d’appliquer au préalable une couche de peinture de fond blanche couvrante.
Étape 3 : peindre la façade
  • Vous avez le choix entre deux types de peinture de façade : une peinture à base d’eau ou une peinture synthétique. Choisissez en tout cas une peinture respirante et hydrofuge. Lisez le truc&astuce ‘Choisir une peinture’.
  • Mélangez bien la peinture. Consultez l’emballage.
  • Ayez toujours à portée de main un linge pour éliminer directement les éclaboussures de peinture.
  • Commencez de préférence sur les bords avec une brosse ordinaire. Trempez celle-ci au tiers dans la peinture et appliquez une couche de haut en bas. Alternez couches verticales et couches horizontales afin de bien répartir la peinture sur la façade. Consultez le truc&astuce ‘Peindre un mur intérieur’ pour plus de détails sur cette technique de peinture.
  • Vous allez peindre la façade proprement dite avec un rouleau à longs poils. Trempez le rouleau à moitié dans la peinture et laissez-le couler sur l’égouttoir.
  • Alternez aussi bandes verticales et bandes horizontales.
  • Passez ensuite le rouleau lentement de haut en bas pour un résultat bien lisse sur toute la surface.
  • Appliquez au moins 2 couches de peinture, voire plus si nécessaire.
Étape 4 : nettoyer les outils
  •  N’attendez pas que la peinture sèche sur vos outils et nettoyez rouleaux et brosses directement.
  • Une peinture à base d’eau s’élimine avec de l’eau et éventuellement un peu de savon vert. Pour une peinture à base d’huile, utilisez de la térébenthine ou du white-spirit. Consultez l’emballage pour des informations complémentaires.

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Placer une applique murale


Les appliques murales sont connues pour créer une atmosphère agréable dans la maison, mais ont aussi l’avantage d’agrandir une pièce. Elles peuvent ainsi être utilement installées dans un couloir étroit. Dans un coin lecture ou dans le living, l’applique murale est idéale pour créer un éclairage indirect.

Fournitures :
  • Applique murale
  • Goulotte synthétique
  • Cavaliers de fixation
  • Spots à encastrer
  • Plâtre à prise rapide
  • Interrupteur
Outillage :
  • Scie cloche
  • Fraiseuse
  • Testeur de tension
  • Crayon
  • Marteau
  • Burin
  • Spatule
  • Pince à dénuder
  • Tire-fils

Etape 1 : déterminer l’emplacement et tracer au mur
  • Déterminez l’endroit où vous souhaitez placer la lampe. Disposez-la à plusieurs endroits sur le mur afin de décidez de l’endroit idéal.
  • Demandez à quelqu’un de maintenir la lampe à cet endroit, et placez-vous sous la lampe afin de vous assurer que la lampe éclaire suffisamment l’endroit souhaité.
  • Une fois sa position idéale trouvée, tracez-la au mur avec un crayon. Attention : l’applique ne peut pas être positionnée trop bas si elle est placée au-dessus d’un fauteuil ou d’un coin lecture. Si vous l’installez trop bas, vous risquez de vous y cogner lorsque vous vous redresserez.
Etape 2 : réaliser le raccordement
  • Dans le coffret électrique, coupez le courant et vérifiez l’absence de courant à l’aide du testeur de tension.
  • Dégagez du mur la prise de courant la plus proche.
  • Avec une scie cloche, pratiquez un trou pour le boîtier d’encastrement du nouveau point lumineux.
  • Réalisez une saignée entre le trou de la prise de contact et le boîtier d’encastrement. Lisez notre truc&astuce ‘Pratiquer une saignée dans un mur et la reboucher’ pour la méthode exacte à suivre.
  • Placez une goulotte en plastique dans la saignée et utilisez des cavaliers pour la fixer dans la saignée.
  • Pour fixer les boîtiers d’encastrement de la prise et du point lumineux, utilisez un peu de plâtre à prise rapide que vous posez dans le trou à l’aide d’une spatule. Lisez le truc&astuce ‘Placer une prise encastrée supplémentaire’.
Etape 3 : installer un interrupteur supplémentaire
  • Pour commander l’applique, installez un interrupteur supplémentaire.  Le plus facile consiste à placer cet interrupteur à proximité d’une prise existante.
  • Percez un trou à proximité de cette prise. Avec un marteau et un burin, agrandissez le trou pour pouvoir raccorder le boîtier d’encastrement.
  • Pour relier les fils de l’interrupteur au point lumineux, vous allez devoir tirer ceux-ci dans la goulotte synthétique à l’aide d’un tire-fils.
  • Avec la pince à dénuder, dénudez tous les fils sur au moins 5 cm. Tressez les fils afin de pouvoir tirer ceux-ci simultanément dans la goulotte.
Etape 4 : raccorder les fils et fixer la lampe murale
  • Consultez l’emballage de l’applique murale pour raccorder correctement les fils.
  • Une fois les fils correctement raccordés, fixez la lampe au mur.
  • Remettez le courant et vérifiez que la lampe fonctionne, lorsque vous actionnez le nouvel interrupteur.

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Maçonner un arc surbaissé


Vous envisagez de maçonner vous-même votre abri de jardin ou une annexe ?  Et pourquoi ne pas soigner votre travail en maçonnant un arc au-dessus des portes ou fenêtres ?  Avec cette fiche de bricolage, vous serez fort occupé, mais le résultat en vaut la peine.
Arcs et maçonnerie vont de pair, depuis la nuit des temps. Il existe ainsi une énorme variété d’arcs : arcs plein cintre, en ogive (également appelés arcs gothiques), arcs florentins, …
Chaque type d’arc nécessite une approche distincte. Dans ce truc&astuce, nous nous limitons à l’arc surbaissé ou segmentaire. Cet arc fréquemment utilisé a pour avantage qu’il ne nécessite aucune découpe de brique (sauf si la portée est inférieure à 1 m).

Fournitures :
  • Mortier 
  • Briques de construction 
  • Bois pour le gabarit 
  • Lattage pour soutenir le gabarit
Outillage :
  • Truelle 
  • Niveau à bulle 
  • Auge de maçon 
  • Cordeau de maçon 
  • Profilés et tasseaux 
  • Meuleuse 
  • Crayon

Étape 1 : calculer l’arc
  • Un arc segmentaire décrit un petit segment de cercle. Sa courbe est uniforme, mais elle ne décrit pas un demi-cercle complet. 
  • La courbe dépend de la portée et de la flèche (b sur le dessin). La hauteur de la flèche a une influence directe sur la hauteur du sommet, c.-à-d. le point le plus haut de la courbe. Déterminez donc la hauteur de la flèche de telle manière que le sommet atteigne au maximum la mi-hauteur de la rangée supérieure de briques. Ce n’est pas obligatoire, mais de cette manière vous évitez de devoir découper des trop petits morceaux de briques pour la maçonnerie supérieure. 
  • Vous pouvez ensuite calculer le diamètre du cercle en appliquant la formule suivante : A x A = b x c
  • Conseil : Pour un résultat optimal, faites en sorte que les coins supérieurs des briques placées aux deux extrémités de l’arc correspondent avec le joint vertical de la couche supérieure de briques. Ainsi, vous ne devrez réaliser aucune découpe compliquée pour obtenir un  beau raccord des briques.
Étape 2 : fabriquer le gabarit
  • Pour maçonner un arc, utilisez un gabarit que vous retirerez lorsque le mortier sera durci. 
  • Fabriquez le gabarit en utilisant deux panneaux de fibre de bois aux extrémités et un morceau de panneau souple pour constituer la courbe. La largeur du gabarit correspond à la largeur d’une brique. Utilisez un cordeau de maçon et un clou en guise de compas pour dessiner le cercle, ainsi qu’une scie sauteuse pour découper le gabarit. 
  • Vous déterminez vous-même la hauteur du gabarit, mais songez que vous allez devoir soutenir le gabarit à l’aide d’un lattage. 
  • Placez enfin solidement le gabarit, en veillant à le positionner correctement.
Étape 3 : maçonner l’arc
  • Pour réaliser la courbe, utilisez un nombre impair de briques, de telle sorte que la clef de la voûte (brique centrale) se trouve bien au milieu. 
  • Enfoncez un clou dans le point de direction des joints (P sur le dessin) qui indique le centre du cercle. Fixez un morceau de corde au clou et indiquez au crayon sur le gabarit les autres repères tant à gauche qu’à droite de la clef. Essayez de choisir la dimension de la courbe en fonction de la maçonnerie restante et rectifiez si vous constatez qu’elle ne correspond pas bien. 
  • Maçonnez l’arc. Commencez par l’un des deux côtés et maçonnez en même temps les premiers rangs du reste de maçonnerie pour solidifier l’ensemble. 
  • Avant de poser une brique, placez suffisamment de mortier contre le bord latéral afin de bien remplir le joint avec l’autre brique.
Étape 4 : maçonner les briques voisines
  • Pour la maçonnerie voisine, respectez simplement la dimension de la couche existante. Dessinez clairement sur les briques au crayon à quel endroit elles doivent être coupées. 
  • Découpez les briques sur mesure avec une meuleuse, en veillant à porter des lunettes de protection. 
  • Une méthode alternative consiste à placer verticalement la maçonnerie située au-dessus de la courbe (voir dessin). Vous éviterez ainsi les difficiles découpes de petits morceaux de brique.
Étape 5 : réaliser la finition
  • Après maçonnage, grattez légèrement (environ un centimètre de profondeur) les joints avec un long fer à joints, ce qui facilitera le jointoiement ultérieur. 
  • Laissez durcir le mortier et ôtez délicatement le gabarit. 
  • Maintenant vous pouvez commencer le jointoiement. Consultez notre conseil bricolage ‘Jointoyer des briques de parement’.
  • Lisez également nos conseils bricolage ‘Utiliser la bonne technique de maçonnerie’, ‘Maçonner des murets’, ‘Maçonner une boîte aux lettres’ et ‘Réaliser des mélanges de béton et mortier’

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Fabriquer une armoire à chaussures

Des chaussures qui traînent font désordre. Avec une armoire à chaussures, vous pouvez les ranger directement lorsque vous rentrez chez vous. En outre, vous ne traînez plus de saletés à l’intérieur. Tout est propre et bien rangé !

Fournitures :
  • Planches en bois (bois massif ou panneaux pour meuble)
  • Bande pour chant de panneau de meuble
  • Colle à bois
  • Crayon
  • Taquets pour planches
  • Vis
  • Goujons
Outillage :
  • Tournevis
  • Serre-joints
  • Perceuse
  • Scie

Étape 1 : dessiner le plan
  • Avant de commencer, dessinez d’abord un plan détaillé de l’armoire. Vous connaîtrez ainsi le nombre de planches (intermédiaires) dont vous avez besoin et quelles en sont les dimensions.
  • Ne faites pas une armoire trop longue, car les planches intermédiaires risquent alors de fléchir sous le poids des chaussures. Une armoire à chaussures pratique doit avoir des planches intermédiaires d’une longueur maximale de 70 à 80cm.
  • Si vous voulez également y ranger des bottes, vous devez en tenir compte et prévoir un espace suffisant entre les planches intermédiaires. La profondeur des planches doit également être déterminée au préalable.
  • Pour info : des chaussures d’une pointure de 45 ont besoin d’une profondeur de 30cm pour rentrer facilement dans l’armoire.
Étape 2 : scier les planches sur mesure et les visser
  • Dessinez les dimensions de l’armoire sur les planches, en respectant scrupuleusement votre plan.
  • Sciez les panneaux latéraux et les planches (intermédiaires) sur mesure.
  • Vous pouvez également faire scier ceux-ci sur mesure dans un magasin de bricolage.
  • Assemblez et fixez les cinq planches sciées qui vont former le cadre et le renfort de l’armoire avec des serre-joints. Appliquez de la colle à l’endroit où les planches s’assemblent. Vérifiez que les planches sont bien perpendiculaires.
  • Vissez les planches. Vous pouvez réaliser des pré-trous afin de faciliter la pénétration des vis.
  • Utilisez de préférence aussi des goujons pour rigidifier l’ensemble.
Étape 3 : monter les différents éléments
  • Sur les panneaux latéraux, dessinez les trous pour les planches intermédiaires.
  • Les planches intermédiaires reposent sur quatre taquets (deux de chaque côté). Il s’agit de petits goujons que vous pouvez trouver en magasin et qui s’insèrent facilement dans un trou.
  • Consultez l’emballage pour connaître la dimension du trou que vous devez percer pour les taquets que vous avez achetés (souvent 5mm).
  • Dessinez avec précision les trous dans lesquels viennent les planches. Il est en effet important que vous placiez les planches intermédiaires de niveau.
  • Conseil : il existe des lattes spéciales avec niveau d’eau intégré pour dessiner des trous opposés qui doivent être parfaitement au même niveau.
  • Percez les trous (faites attention de ne pas transpercer l’armoire!) avec une mèche du bon diamètre.
  • Insérez les taquets dans les trous.
Étape 4 : réaliser les finitions
  • Le chant coupé visible doit être recouvert d’une bande pour chant de la même couleur que le panneau de meuble.
  • Si vous travaillez avec du bois massif, le bois ne nécessite aucune finition supplémentaire.

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Choisir l’appareillage

La maçonnerie doit son aspect à divers facteurs. Le type de briques et leur couleur jouent un rôle primordial, de même que la finition des joints. On pense cependant moins souvent au type d’appareillage que l’on va choisir pour assembler les briques. Pourtant, l’appareillage revêt une importance déterminante dans l’aspect global de la maçonnerie.
Actuellement, les murs creux isolés sont tellement courants que les habitations aux appareillages traditionnels sont de moins en moins fréquentes. Néanmoins, pour d’autres constructions, telles les murets ou abris de jardin, ces appareillages oubliés restent parfaitement d’actualité pour le bricoleur.


Etape 1 : la base de tout appareillage
  • Les appareillages habituels sont tous agencés à l’aide des formats suivants, au moyen de briques normales dans chaque cas :
    • la demi-brique : la moitié d’une brique ;
    • la panneresse : une brique entière ;
    • le trois-quarts : trois quarts d’une brique ;
    • la boutisse : la tête d’une brique ;
    • la chantignole : la moitié d’une brique en longueur.
  • Dans la mesure du possible, il est indiqué de travailler sur la base de ces formats conventionnels. Par conséquent, essayez constamment d’élaborer votre ouvrage de maçonnerie de sorte que vous ne soyez pas contraint de découper des formats spéciaux non conventionnels.
Etape 2 : les différents appareillages
Appareillage en demi-briques, également appelé appareillage en panneresses
  • Il s’agit de l’appareillage le plus connu, que vous pouvez voir dans la plupart des habitations en Belgique. Les joints verticaux des briques de la rangée supérieure se situent à chaque fois au milieu de la longueur des briques de la rangée inférieure. Il en résulte un mur d’une épaisseur d’une demi-brique, dont le creux est ensuite garni d’un matériau isolant.
  • Dans ce type d’appareillage, les pertes en matériaux sont faibles et la quantité de mortier nécessaire réduite au minimum. Sa simplicité d’aspect rend cet appareillage reposant.
Appareillage flamand
  • Cet appareillage séculaire se compose d’une panneresse suivie d’une boutisse. Toutes les rangées sont montées de cette manière, chacune chevauchant un trois-quarts. A chaque rangée, la boutisse jouxte donc un quart de brique.
  • Malgré la simplicité de l’assemblage, l’appareillage flamand vous permet néanmoins de créer une structure traditionnelle complexe, qui ressemblera à l’appareillage en chaîne, mais avec un aspect moins statique.
Appareillage debout
  • Il s’agit d’un appareillage des plus adaptés si vous souhaitez maçonner un mur de briques complet. Maçonnez d’abord une rangée de panneresses, puis une rangée de boutisses, ensuite une nouvelle rangée de panneresses, etc. Chaque rangée de panneresses comprend un trois-quarts. Les joints montants (joints verticaux) des panneresses se trouvent dans un alignement parfait une rangée sur deux. Il en va de même pour les joints montants des boutisses.
  • L’appareillage debout se prête aisément à la construction d’un muret de jardin et à celle de murs communs à deux propriétés, dont les côtés respectifs ont ainsi le même aspect.
Appareillage en croix
  • Commencez par poser une rangée de boutisses, suivie d’une rangée de panneresse, etc. Dans chaque rangée de boutisses, placez un trois-quarts après la première boutisse. Toutes les quatre rangées, posez une boutisse après la première panneresse.
  • Cet appareillage est typique des vieux bâtiments, notamment les fermes et les châteaux ; on l’aperçoit aussi fréquemment dans les vieilles petites gares.
Appareillage en chaîne
  • Toutes les rangées alternent deux panneresses et une boutisse. Une rangée sur deux, les boutisses se trouvent en alignement. Il est parfois appelé appareillage norvégien.
  • L’aspect de cet appareillage est austère. Veillez à utiliser des briques de dimensions identiques.
Appareillage en quarts de briques
  • Dans cet appareillage, les joints verticaux de chaque rangée de briques chevauchent à chaque fois ceux de la rangée précédente sur un quart ou trois quarts de la longueur des briques. Vous pouvez choisir un appareillage incliné vers la gauche ou vers la droite. Ainsi, si la brique supérieure chevauche systématiquement celle inférieure d’un quart vers la droite, on parlera d’appareillage incliné vers la droite.
  • L’intérêt de cet appareillage est sa dynamique oblique. Du même coup, certaines personnes en retirent parfois également une impression d’instabilité. Pour résoudre ce problème, vous pouvez notamment inverser l’inclinaison toutes les dix rangées, pour former de la sorte une structure en zigzag.
Appareillage sauvage
  • Vous avez le loisir de composer cet appareillage à votre guise. Vous pouvez utiliser des panneresses, des boutisses, des quarts de briques ainsi que d’autres formats. Néanmoins, n’utilisez pas de briques d’une taille inférieure à un quart de la longueur totale d’une brique.
  • Il s’agit d’un bon appareillage si vous utilisez des briques irrégulières, vieilles ou usées, également adapté à la rénovation. Il est important de ne pas appareiller sans interruption, car veiller consciemment à des changements dans la pose des briques demande un effort important.
Etape 3 : conseils généraux
  • N’utilisez pas différents appareillages, mais respectez celui que vous avez choisi.
  • N’utilisez pas de morceaux de briques dont la hauteur est supérieure à la largeur (principalement en cas d’appareillage sauvage). La solidité de l’ensemble serait alors compromise aux endroits délicats (coins, appuis de fenêtres, etc.).
  • Pour obtenir les différents formats, vous devez tailler les briques sur mesure à l’aide d’un disque abrasif. Veillez à toujours porter une protection faciale ainsi que des gants de travail.
  • Quel que soit l’appareillage choisi, soyez minutieux. Tentez à chaque fois de conserver une largeur de joints identique et contrôlez régulièrement votre travail à l’aide d’un niveau à bulles.

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Rénover une toiture en ardoises synthétiques


De nombreuses maisons existantes sont recouvertes d'une toiture en ardoises synthétiques qui exposées au vent et à la pluie pendant de nombreuses années, ont fini par s'altérer. De plus, ces toitures se couvrent généralement de mousse. Aussi, est-il bon de savoir rénover une toiture en ardoises synthétiques.
Pour réaliser cette opération, vous allez devoir monter sur la toiture. Prudence donc ! Si vous ne vous sentez pas à l'aise sur une échelle, vous avez peut-être intérêt à louer un échafaudage. Si vous utilisez une échelle, veillez à bien stabiliser celle-ci.

Fournitures:
  • Produit anti-mousse
  • Primer pour rénovation de toiture
  • Coating pour rénovation de toiture
  • Bac ou un tamis
Outillage:
  • Brosse
  • Echelle ou échafaudage
  • Pulvérisateur à pression
  • Nettoyeur à haute pression
  • Bac pour peinture
  • Rouleau de peinture avec manche téléscopique

Étape 1: démousser la toiture
  • Les ardoises sont recouvertes d'origine d'un revêtement, qui s'use au fil des ans, si bien qu'elles finissent par absorber plus facilement l'eau.
  • Cet environnement humide constitue un milieu idéal pour la formation de mousse. Avant de rénover le toit, vous devez enlever toute la mousse et nettoyer la toiture en profondeur.
  • Brossez le gros de la mousse et utilisez ensuite un produit anti-mousse pour enlever les restes de mousse. Utilisez un pulvérisateur pour appliquer le produit anti-mousse sur toute la surface de la toiture.
Étape 2: nettoyer la toiture
  • Laissez agir suffisamment longtemps le produit anti-mousse (consultez l'emballage) et nettoyez la toiture abondamment à l'eau. A cet effet, il convient d'utiliser un nettoyeur à haute pression. Veillez à ce que la pression ne soit pas trop élevée et orientez toujours le jet droit sur les ardoises ou incliné vers le bas, jamais vers le haut, sinon vous enverriez de l'eau sous les ardoises!
  • Conseil: déconnectez provisoirement les décharges d'eau de pluie qui amènent l'eau de pluie dans la citerne, afin d'éviter que des restes de mousse bouchent la citerne d'eau de pluie. Si possible, récoltez les restes de saleté dans un bac ou utilisez un tamis pour les retenir.
Étape 3: poser la couche de protection primaire
  • Une fois que les ardoises synthétiques sont parfaitement propres, le gros du travail est fait. Si vous n'appliquez pas de couche de protection supplémentaire, vous devrez très rapidement remonter sur votre échelle pour nettoyer à nouveau vos ardoises.
  • Traitez donc la surface de toiture avec un primer spécial ou une couche de fond. Ce produit assure une meilleure adhérence du revêtement final.
  • Vous pouvez appliquer le primer (blanc laiteux) à l'aide d'un rouleau (de préférence monté sur un manche téléscopique!) sur la toiture sèche et propre. Consultez l'emballage pour le temps de séchage exact.
Étape 4: poser la couche de revêtement
  • Lorsque le primer est sec, vous pouvez poser le revêtement final.
  • Mélangez le produit comme indiqué sur l'emballage et appliquez-le au rouleau, comme pour le primer. Si vous utilisez un rouleau à poils longs, le résultat sera plus beau et plus uniforme.
  • Lorsque le revêtement est sec, la toiture est comme neuve.

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Réaliser une armoire encastrée à portes coulissantes


Les modèles d’armoires encastrées sont disponibles dans le commerce dans toutes les dimensions et dans tous les styles.  Une armoire encastrée est la solution idéale pour utiliser de manière optimale l’espace disponible.  Des zones perdues peuvent se transformer en armoires bien pratiques qui s’harmonisent parfaitement avec le reste de votre intérieur. Le principal atout d’une armoire encastrée est l’espace de rangement supplémentaire que celle-ci offre. Et avec des armoires encastrées, les amateurs d’architecture sobre préservent l’aspect moderne de leur intérieur.

Fournitures:
  • Chevilles       
  • Vis       
  • Tenon ou clou
  • Boulons réglables
  • Rails supérieurs et inférieurs
  • Bandeau de protection
  • Bandeau décoratif
  • (latte de réglage)
  • Panneaux de portes
  • Profilés de portes coulissantes
  • Roulements supérieures et inférieures
  • Panneaux latéraux
Outillage:
  • Fil à plomb ou niveau à eau
  • Scie à métaux
  • Foret

Étape 1: mesurer
  • Relevez les dimensions de l’encastrement. Pour la hauteur, mesurez du sol au plafond.
  • Pour la largeur, mesurez la distance entre les deux parois latérales de l’armoire.
  • Vérifiez au préalable si le sol et le plafond sont parallèles afin d’éviter que les portes ne coincent. Faites-le en mesurant la distance entre le sol et le plafond tant à gauche qu’à droite.
  • Des écarts minimes jusqu’à 1,5cm ne posent aucun problème.  Au-delà de cet écart, il faut rectifier en plaçant une latte de réglage coupée en biseau sous les rails supérieurs et inférieurs.
Étape 2: monter les rails supérieurs et inférieurs
  • Mesurez les rails supérieurs. S’ils dépassent la largeur de l’armoire, coupez-les à dimension à l’aide d’une scie à métaux.
  • Dessinez les trous des rails. Faites-vous aider afin que le rail soit bien en place au moment où vous dessinez les trous. Fixez ensuite les rails au  plafond à l’aide de chevilles et vis.
  • Le bandeau de protection des rails supérieurs doit venir s’insérer entre le plafond et les rails supérieurs. Vissez ensuite le bandeau supérieur décoratif.
  • La position des rails inférieurs doit être mesurée à l’aide d’un fil à plomb ou d’un niveau à eau et d’un long profilé.
  • Il existe des systèmes sans rail inférieur. Vous n’achetez que le rail supérieur et un jeu de roulettes à fixer sur les portes de l’armoire. Avec ce système, vous pouvez monter votre armoire plus facilement et plus librement. Mais la solidité de l’ensemble sera moindre que si vous installez un système avec rail inférieur.
Étape 3: scier les panneaux et portes sur mesure
  • Mesurez la hauteur des portes et panneaux et sciez-les sur mesure.  Ne montez les panneaux de porte que lorsque les rails sont fixés.
  • Sciez les profilés de portes coulissantes sur mesure et glissez-les autour des panneaux de porte.
  • Monter les roulements supérieurs et inférieurs aux coins de chaque porte coulissante.
Étape 4: monter le panneau coulissant
  • Réglez les roulements inférieurs au maximum afin de suspendre la paroi coulissante. Utilisez un tenon ou un clou pour bloquer le panneau coulissant.
  • Maintenez le panneau coulissant en oblique et suspendez ainsi la porte dans le rail situé le plus loin. Enlevez le tenon ou clou et laissez doucement la porte glisser dans le rail inférieur.
  • Réglez le panneau coulissant aux roulements inférieurs avec des boulons réglables. Réglez aussi les panneaux latéraux et portes coulissantes.
  • Il est facile de dissimuler des fissures ou irrégularités à l’aide de panneaux latéraux.  A cet effet remesurez la profondeur d’encastrement de l’armoire.

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Réaliser une allée en gravier


Le gravier est un matériau très facile à entretenir idéal pour l’aménagement d’une allée de jardin ou d’un chemin. Il est en outre relativement bon marché, perméable et offre une grande liberté de configuration. De nombreux coloris et calibres sont actuellement disponibles dans le commerce.

Fournitures :
  • Gravier
  • Toile anti-racines (géotextile)
  • Bordures ou palissades
  • Briquaillons (briques ou pierres broyées)
  • Planche de bois
  • Sable stabilisé
Outillage :
  • Râteau
  • Bêche
  • Rouleau compresseur
  • Niveau à eau
  • Marteau en caoutchouc
  • Foreuse
  • Compacteur à plateau vibrant
  • Cutter
  • Meuleuse (meuleuse d’angle)
  • Scie

Etape 1: creuser l’allée
  •  Creusez l’emplacement de l’allée sur une profondeur minimum d’une dizaine de centimètres.
  •  Les bordures, palissades voire même des billes de chemin de fer (traverses) embelliront votre allée. Il existe également des bordures en plastique. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi utiliser des poutres en bois. 
  • A l’aide d’un niveau, vérifiez que les deux côtés de l’allée sont horizontaux. Vous pouvez également laisser l’allée suivre le relief du terrain.
  • Afin de garantir un résultat esthétique, veillez à ce que la largeur de l’allée soit égale partout. Sciez une planche dans la largeur voulue et utilisez-la pour vérifier que celle-ci est correcte.
  • Meulez (ou sciez) les bordures en fonction des dimensions souhaitées et fixez-les solidement.
  • Creusez une tranchée et étalez-y une fine couche de sable stabilisé (7 part de sable pour 1 de ciment). Placez les bordures dans la tranchée et ajoutez un peu de sable stabilisé sur les côtés.
  • Enfoncez-les à l’aide d’un marteau en caoutchouc. Laissez durcir.
    Conseil : afin de vous assurer que la largeur de votre allée est identique partout, vous pouvez utiliser une latte en bois dans laquelle est découpée de part et d’autre une entaille pouvant s’adapter à la bordure. Il vous suffira de tirer la latte pour repérer immédiatement toute déviation.
Etape 2: poser la toile anti-racines
  • Posez la toile (également appelée géotextile) dans le fond de l’allée et ce, afin d’empêcher que le gravier ne pénètre dans le sol et d’éviter autant que possible l’apparition de mauvaises herbes.
  • Utilisez un cutter pour le découper dans les dimensions voulues.
  • Laissez un chevauchement d’au minimum 10 cm en cas de raccords de bandes.
  • Assurez-vous que la toile recouvre toute la surface.
Etape 3: étendre les briquaillons et le gravier
  • Recouvrez la toile anti-racines de briquaillons. Si vous le souhaitez, vous pouvez à la place le recouvrir d’une couche de sable stabilisé sur laquelle vous étendrez le gravier.
  • Répartissez le tout de façon à obtenir une couche épaisse et régulière.
  • Egalisez avec un râteau et tassez à l’aide d’un rouleau compresseur ou d’un compacteur à plateau vibrant.
  • Etendez le gravier et ratissez-le. Une épaisseur d’au moins 5 cm est nécessaire.
  • Après quelques semaines, ajoutez à nouveau si nécessaire un peu de gravier pour obtenir le niveau souhaité.

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